La dysrégulation émotionnelle chez l’enfant TDAH
Cette question qui sous-tend un lien de causalité systémique entre ces deux constatations est au cœur des préoccupations des neurothérapeutes. Cette étude est importante pour les parents. Elle intéresse également la communauté des professionnels engagés dans le bien-être des enfants TDAH et de leur famille.
De plus, notre réflexion vise à identifier les meilleures stratégies pour soutenir à la fois les enfants et leurs parents.
Les comorbidités fréquentes chez les enfants TDAH incluent comportement, TOP, agressivité, délinquance.
Pour mieux comprendre la complexité de cette situation, nous nous appuyons sur l’ article de LAM, IKY. HONG, J. et SHUM, KKM dont la publication est prévue en juillet 2024 lien a venir : https://hub.hku.hk/handle/10722/343641
RÉSUMÉ
RECHERCHES
Les études antérieures ont confirmé un lien fort entre la dysrégulation émotionnelle chez les enfants TDAH et le bien-être psychologique des parents. Cependant, la nature exacte de cette relation et les mécanismes sous-jacents restent flous, surtout dans le contexte spécifique du TDAH.
Cette étude vise à examiner la relation entre les facteurs psychologiques des parents et les symptômes du TDAH, ainsi que l’adaptation de leurs enfants.
Les données ont été collectées auprès de 98 parents de Hong Kong, dont les enfants étaient diagnostiqués ou soupçonnés de TDAH, dans un échantillon communautaire.
Ces parents ont rempli des questionnaires sur leur santé mentale, leurs difficultés de régulation émotionnelle et leur stress parental.
Les questionnaires portaient également sur les symptômes du TDAH de leurs enfants, leurs problèmes d’adaptation et leurs difficultés de régulation des émotions.
RÉSULTATS
Les résultats des analyses de modélisation par équation structurelle ont montré que les symptômes du TDAH et l’adaptation des enfants prédisaient leur dysrégulation des émotions.
Cette dysrégulation émotionnelle des enfants prédisait ensuite la dysrégulation émotionnelle des parents, leurs problèmes de santé mentale, ainsi que leur stress parental.
L’adéquation du modèle est restée bonne même après avoir contrôlé l’âge, le sexe et l’utilisation de médicaments contre le TDAH.
Cependant, le modèle concurrent, qui testait la direction opposée de la prédiction, n’a pas montré un ajustement adéquat.
Globalement, nos résultats montrent que les problèmes de régulation des émotions chez les enfants affectent le bien-être psychologique de leurs parents.
Les difficultés d’adaptation des enfants ont un impact notable sur la santé mentale des parents, révélant une relation significative.
CONCLUSION
L’amélioration de la dysrégulation émotionnelle chez les enfants TDAH peut bénéficier à tous. Cela inclut l’amélioration de leurs symptômes et de leur adaptation, ainsi que du bien-être psychologique de leurs parents.
L’apprentissage de stratégies adaptatives de régulation émotionnelle pourrait devenir crucial. Cela pourrait être intégré dans les futures interventions pour les enfants TDAH.
En suivant une approche systémique, il est pertinent de considérer ces deux perspectives opposées. Elles mettent en lumière les causes psychopathologiques sous-jacentes de la dysrégulation émotionnelle chez les enfants TDAH.
DES INTERACTIONS COMPLEXES
Voici quelques points à aborder pour mieux comprendre ces interactions complexes :
- L’impact de la santé mentale des parents sur l’enfant TDAH : La santé mentale des parents influence l’enfant TDAH. Leur capacité à réguler les émotions est affectée. Les difficultés des parents peuvent être transmises aux enfants.
- La réciprocité de l’influence : Comme le montre l’étude, il existe une relation bidirectionnelle où, non seulement la santé mentale des parents affecte l’enfant, mais les défis émotionnels et comportementaux de l’enfant peuvent aussi aggraver le stress et les problèmes psychologiques des parents.
Ce cycle réciproque attire particulièrement notre attention. De son analyse fine, dans chaque situation rencontrée, dépendra la compréhension de l’installation du dysfonctionnement ainsi que le choix hiérarchisé des interventions non médicamenteuses (INM) proposé.
Examinons tout d’abord les causes physiopathologiques internes selon notre hypothèse développée en neurothérapie.
5 piliers constituent la base des besoins fondamentaux pour le développement harmonieux de la trajectoire neurodéveloppementale de l’enfant dès sa gestation.
Voici une explication enrichie et l’intrication de 3 d’entre eux directement impliquées dans la Dysrégulation Émotionnelle chez l’enfant TDA/H
LES CAUSES INTERNES :
LE SYSTÈME TONIQUE VENTILATOIRE ET LES ÉMOTIONS :
Il est constitué du Tonus musculaire qui permet de maintenir une posture debout en se redressant contre la gravité. Chez l’humain, la posture debout caractérise l’espèce Humaine. Elle nécessite un équilibre fin et précis lors de la réalisation de tâches minutieuses et la tonicité doit donc être finement régulée pour permettre une précision optimale dans nos actions.
LE TONUS MUSCULAIRE
Il constitue l’armature du Système Tonique Ventilatoire liant intimement la posture debout à la ventilation, support de la respiration.
LA VENTILATION
Ce processus vital permet l’apport en oxygène et l’élimination du dioxyde de carbone. La ventilation repose sur une coordination minutieuse du tonus d’un ensemble musculaire complexe : lors de l’inhalation, les muscles du pharynx se contractent légèrement avant le diaphragme pour éviter l’effondrement des voies aériennes supérieures, grâce à un décalage de phase de 100 millisecondes. Cette synchronisation illustre la complexité des mécanismes neuromoteurs impliqués.
LE DÉBIT RESPIRATOIRE
La quantité et l’efficacité de l’air qui traverse les voies respiratoires sont influencées par plusieurs facteurs. Parmi ceux-ci figure la tonicité de trois diaphragmes essentiels à la posture debout. Le diaphragme pharyngé, composé des muscles de la langue nécessaires à la succion, à la déglutition et à la respiration dès la naissance, joue un rôle crucial. Le diaphragme thoracique facilite l’entrée de l’air en prenant appui sur le contenu abdominal. De plus, le plancher pelvi-périnéal doit être suffisamment tonique pour soutenir les deux autres diaphragmes.
La Déficience Tonique ventilatoire et les Émotions : elle s’observe aisément à partir d’un examen visuel simple de la posture et des tests simples de la ventilation. Elle s’explique par la difficulté à réguler l’expression des émotions perçues par le corps grâce à une ventilation bien répartie assurant l’ensemble coordonné de l’action cognitive et/ou motrice en cours.
À partir de ce déficit du Système Tonique Ventilatoire, comme nous venons de l’expliquer, l’intrication particulière avec 2 autres de ces piliers va être responsable des causes internes entraînant la Dysrégulation Émotionnelle.
LE SOMMEIL ET LES ÉMOTIONS
LES PEURS ARCHAÏQUES CHEZ L’ENFANT AVEC DES TROUBLES DU DÉBIT RESPIRATOIRE ELLES PEUVENT ÊTRE EXPLIQUÉES PAR UN PHÉNOMÈNE LIÉ À LEUR EXPÉRIENCE PENDANT LE SOMMEIL, NOTAMMENT DURANT LES MICRO-ÉVEILS NOCTURNES.
CES INTERRUPTIONS DU SOMMEIL SONT DES RÉPONSES PHYSIOLOGIQUES À LA DIFFICULTÉ RESPIRATOIRE : UN MÉCANISME DE SURVIE QUI RÉVEILLE LÉGÈREMENT L’ENFANT POUR QU’IL REPRENNE SA RESPIRATION NORMALEMENT ET ÉVITE L’ASPHYXIE.
DURANT LA PHASE DE SOMMEIL PARADOXAL
La partie du sommeil où les rêves sont les plus fréquents et le cerveau est très actif. Les muscles, à l’exception de ceux des yeux et de la respiration, sont temporairement paralysés ou hypotoniques. Chez un enfant avec des problèmes respiratoires, cette hypotonie peut contribuer à des obstructions des voies aériennes ou à des troubles du débit, provoquant des micro-éveils. Le sommeil paradoxal étant aussi une phase de sommeil plus léger, l’enfant peut se retrouver dans un état de semi-conscience lors de ces éveils. Il est partiellement conscient de son environnement, mais sans pleine capacité de réaction ou de compréhension.
CES EXPÉRIENCES RÉPÉTÉES
Elles laissent des impressions sensorielles fortes, perçues comme menaçantes ou effrayantes, en l’absence d’une identification claire de la source du malaise. Ces réactions peuvent empêcher de surmonter les peurs archaïques néonatales, profondément ancrées dans l’expérience somatique du stress respiratoire.
CES PEURS
Elles peuvent persister durant l’état de veille, car le cerveau de l’enfant peut avoir du mal à distinguer entre les expériences vécues pendant l’état de semi-conscience du sommeil et les réalités du monde éveillé. Un enfant avec des troubles du débit respiratoire peut ainsi présenter une anxiété accrue et des peurs qui semblent disproportionnées ou non spécifiques. Ces réactions sont ancrées dans les expériences nocturnes perturbatrices plutôt que dans des événements diurnes identifiables.
POUR SYNTHÉTISER
Les troubles du débit ventilatoire chez l’enfant peuvent perturber le sommeil, laissant des empreintes émotionnelles fortes. Ces perturbations se manifestent par des peurs archaïques, nécessitant une attention particulière en neurothérapie. Le traitement doit viser à améliorer la respiration nocturne et à gérer les séquelles émotionnelles associées à ces troubles.
Les compensations
Ces piliers interagissent de manière complexe et sont tous essentiels à une fonction tonique ventilatoire saine. Certains ont compensé un trouble par un haut niveau intellectuel ou un fort soutien familial. Les conséquences peuvent surgir à l’âge adulte, sous la pression professionnelle ou familiale, ou lorsqu’ils épuisent leurs compensations.
Voir l’article de la HAS
TDAH ET GÉNÉTIQUE
En premier lieu, rappelons qu’il existe une composante génétique notable du TDAH.
La transmissibilité héréditaire ou l’influence génétique du TDAH est d’environ 75 %.
En France, comme dans de nombreux autres pays, le trouble est très largement sous diagnostiqué chez l’adulte.
Pour certains, malgré des difficultés importantes durant l’enfance (sur le plan familial, scolaire ou social) en lien avec le TDAH, le diagnostic n’a pour autant pas été évoqué.
De ce fait, la Trajectoire Neurodéveloppementale du TDAH sera émaillée de diverses pathologies en lien plus ou moins direct avec le Trouble initial
Le manque de reconnaissance du TDAH chez les parents peut souvent engendrer une forme d’évitement ou même de déni, où les difficultés propres à l’adulte sont inconsciemment projetées sur l’enfant.
Cette projection n’est pas anodine : elle peut aggraver la dysrégulation émotionnelle chez l’enfant. Celui-ci se retrouve au centre de frustrations et d’attentes mal ajustées. Ce phénomène est accentué lorsque les parents, non diagnostiqués et non traités pour le TDAH, luttent eux-mêmes avec des symptômes non reconnus, augmentant involontairement les tensions familiales et les dysfonctionnements.
LES CAUSES AFFECTANT LA DYNAMIQUE FAMILIALE
1- LES ÉTAPES DU DEUIL DE L‘ENFANT IDÉAL
Nous accompagnons fréquemment des parents aux prises avec des difficultés rencontrées lors de la traversée de l’une ou l’autre de ces étapes du deuil :
Lorsque les parents idéalisent un enfant sans TDAH, cela engendre frustration et sentiment d’impuissance. Ils peuvent ressentir une perte par rapport à l’enfant espéré, créant des attentes démesurées ou des critiques constantes envers lui.
Les émotions non résolues du deuil de l’enfant idéal se transfèrent souvent involontairement sur l’enfant atteint de TDAH. Les parents peuvent projeter leurs propres sentiments d’inadéquation ou de déception, affectant négativement l’estime de soi de ce dernier et intensifiant ses difficultés émotionnelles et comportementales.
Le déni du TDAH par les parents peut conduire à des conflits familiaux et à une tension constante. Refuser de reconnaître ou de traiter le TDAH de l’enfant aggrave souvent sa dysrégulation émotionnelle. Le manque de soutien à la maison entrave le développement de stratégies d’adaptation efficaces, exacerbant ainsi ses symptômes.
En résumé, les phases non résolues du deuil parental idéal interfèrent avec le TDAH de l’enfant. Elles créent un environnement familial émotionnellement chargé et conflictuel, compromettant le bien-être émotionnel de l’enfant. Cela nécessite une approche thérapeutique intégrée pour soutenir la famille.
2- DYNAMIQUE D’ATTACHEMENT
Attachement : Les troubles de l’attachement se manifestent par des difficultés dans la capacité d’un enfant à établir et à maintenir des relations affectives sécurisantes avec ses parents ou les figures d’attachement principales.
Impact des Troubles de l’Attachement : Les troubles de l’attachement chez les parents, souvent liés à leurs propres expériences d’enfance, peuvent se manifester par des difficultés à répondre de manière sensible aux besoins émotionnels de l’enfant.
Cette dynamique peut profondément influencer la perception du soutien émotionnel et de la sécurité par l’enfant au sein de la famille, affectant ainsi son développement émotionnel et social.
Les enfants qui développent un attachement sécurisé avec leurs parents ont tendance à mieux réguler leurs émotions. Dans ces conditions investiguer si les troubles des parents perturbent cette dynamique peut représenter une priorité.
3- ESTIME DE SOI CHEZ L’ENFANT
- Modélisation du Comportement : Les enfants apprennent et intègrent des comportements à travers le modelage offert par leurs parents. L’estime de soi peut être affectée négativement si les parents manifestent une faible estime de soi ou des comportements autodestructeurs.
- Renforcement Négatif : Les critiques constantes ou le manque de soutien peuvent entraîner une faible estime de soi chez l’enfant, ce qui contribue à la dysrégulation émotionnelle.
4- NÉGLIGENCE
La négligence familiale se manifeste par un manquement aux besoins fondamentaux de l’enfant : amour, attention, sécurité, soins physiques. Les parents peuvent ne pas répondre adéquatement aux besoins émotionnels et physiques, affectant le développement global de l’enfant.
5- TRAUMAS
Les traumas familiaux : violence, séparation conflictuelle, abus émotionnel ou physique, événements traumatiques. Ces expériences perturbent l’équilibre émotionnel de l’enfant, affectant sa régulation émotionnelle et comportementale.
LES TROUBLES CONSCIENTS OU INCONSCIENTS CHEZ LES PARENTS
De ce fait, des troubles conscients ou inconscients existant chez les Parents auront des conséquences :
- Soit un impact psychologique direct: Les troubles émotionnels ou psychiatriques chez les parents, comme l’anxiété ou la dépression ou bien la décompensation d’un TDA/H jusqu’alors compensé, peuvent créer un environnement familial tendu, influençant directement la capacité de l’enfant à réguler ses propres émotions.
- Ou, une transmission inconsciente de stress: Les parents peuvent inconsciemment transmettre du stress à leurs enfants par des comportements non verbaux, des réponses émotionnelles disproportionnées ou par l’incapacité de fournir un soutien émotionnel stable.
Il est essentiel d’adopter une approche holistique qui adresse de manière intégrée les aspects neurobiologiques, physiologiques et psychologiques sous-jacents à ces problèmes de dysrégulation émotionnelle chez l’enfant TDAH.
Une telle approche permettrait de traiter non seulement les symptômes visibles, mais aussi les causes profondes de telles difficultés.
LA NEUROTHÉRAPIE : UNE APPROCHE GLOBALE POUR L’ÉDUCATION ET LA SANTÉ DE L’ENFANT ET DE SA FAMILLE
L’ACCOMPAGNEMENT POUR L’ENFANT
LA RÉGULATION DE L’ACTIVITÉ CÉRÉBRALE PAR NEUROFEEDBACK BASÉE SUR L’EEG QUANTITATIF (EEGQ)
Le Neurofeedback EEGq est une méthode scientifiquement validée pour mesurer l’activité cérébrale. Les capteurs sur le cuir chevelu identifient les dysfonctionnements spécifiques au TDAH. Les séances régulières aident à améliorer la concentration de l’enfant. Elles réduisent également son impulsivité et améliorent son comportement global. Cette approche personnalisée aide à renforcer les capacités cognitives et émotionnelles de l’enfant, favorisant ainsi un meilleur équilibre au quotidien.
L’ÉDUCATION PAR LE SOUFFLE : LE BIOFEEDBACK VENTILATOIRE
L’éducation par le souffle, ou Biofeedback ventilatoire, est une technique puissante pour enseigner aux enfants et aux parents comment contrôler leur respiration afin de réguler leur système nerveux.
En utilisant des capteurs pour surveiller la respiration, on apprend des techniques de respiration profonde et régulière. Cela favorise la relaxation et réduit le stress perçu.
Cette pratique est bénéfique pour les enfants TDAH en améliorant leurs attention, calme et gestion de l’anxiété. Intégrer le Biofeedback ventilatoire dans la routine quotidienne est bénéfique. Cela aide à créer un environnement familial serein et favorable à l’épanouissement de l’enfant.
L’ÉDUCATION FONCTIONNELLE DE LA POSTURE ET DE LA VENTILATION
L’éducation proprioceptive de la posture vise à améliorer la conscience corporelle. Des exercices spécifiques et du Biofeedback sont utilisés pour cela. Cette méthode aide les enfants à mieux comprendre et contrôler leurs mouvements corporels. Cela peut avoir un impact positif sur leur comportement et leur performance scolaire.
Une bonne posture est essentielle pour le fonctionnement optimal du cerveau et du corps. Elle peut aussi réduire les tensions musculaires et la fatigue.
En apprenant à adopter une posture correcte et à bouger de manière équilibrée, les enfants gagnent en confiance. Ils améliorent aussi leur bien-être physique.
Les parents formés peuvent soutenir leurs enfants dans l’intégration de ces habitudes saines. Cela contribue à une meilleure qualité de vie pour toute la famille.
L’ACCOMPAGNEMENT DE LA FAMILLE
- La gestion du stress : Former les parents à la gestion du stress par le Biofeedback contribue à réduire leur propre niveau de stress, ce qui à son tour pourra diminuer les tensions au sein du foyer et offrir un environnement plus stable pour l’enfant.
- La psychoéducation et un programme d’éducation parentale : Ces programmes peuvent aider les parents à mieux comprendre les besoins émotionnels de leurs enfants et à apprendre des techniques d’attachement sécurisant.
DÉVELOPPEZ VOS COMPÉTENCES EN BIOFEEDBACK ET NEUROFEEDBACK
Nous proposons des programmes de formation complets pour devenir praticien en biofeedback et neurofeedback. Ces programmes sont élaborés pour doter les professionnels des compétences et connaissances nécessaires à l’application efficace de ces technologies de pointe.
Nous encourageons vivement les professionnels désireux de perfectionner leurs compétences et d’enrichir leur gamme d’interventions thérapeutiques à explorer ces opportunités.
Nous invitons tous les parents d’enfants atteints de TDAH à rejoindre l’Institut Neurosens pour se former à la neurothérapie.
En vous formant au Neurofeedback quantitatif et au Biofeedback, vous pouvez aider vos enfants ou proches à améliorer leur bien-être et leurs performances. De plus, vous pouvez sensibiliser à cette méthode globale et holistique.
Ensemble, nous soulageons petits et grands, améliorant la vie des familles touchées par le TDAH.
Ne manquez pas cette chance de faire une différence durable.
Pour en savoir plus et discuter de vos objectifs professionnels, réservez une consultation personnalisée.