La prise en charge pluridisciplinaire de la douleur chronique recourt de plus en plus souvent au Biofeedback et au Neurofeedback. Les résultats des travaux récents en neuroanatomie et en neurophysiologie confirment le bien fondé de ces techniques. Leur efficacité présente de plus en plus d’intérêt compte tenu de la complexité de l’entité nosologique de la douleur chronique.
L’apprentissage cérébral par Neurofeedback est une méthode bien codifiée. De très nombreux praticiens l’utilisent avec succès depuis une trentaine d’années dans différents domaines. L’apport des neurosciences confirme l’intérêt pour cette méthode d’apprentissage cérébral par Neurofeedback.
Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique: en 1980, la reconnaissance du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est obtenue sous la pression d’un groupe de vétérans du Vietnam et de plusieurs psychothérapeutes. Le Neurofeedback pour le stress post-traumatique fait partie des moyens rapidement utilisés.
Le Neurofeedback EEGq connait actuellement un regain d’intérêt et conjointement, le développement cérébral atypique de l’enfant Dys s’avère être le plus souvent la règle. Cette une méthode permet de régulariser le fonctionnement cérébral et elle est démontrée efficace pour le TDAh. Des professionnels de nombreux pays anglo-saxons l’utilisent pour améliorer les différents troubles du développement chez les enfants.
Les troubles posturomoteurs sont fréquemment associés à ceux du langage chez l’enfant Dys.
Les troubles spécifiques de l’apprentissage, (lecture, écriture ou mathématiques) et du développement (langage ou motricité) coexistent très souvent. La nouvelle version du DSM 5 inclut l’ensemble de ces troubles dans les troubles neuro-développementaux.
La pratique du Neurofeedback EEGq se base sur une évaluation initiale par électroencéphalographie quantitative. Cet examen permet de mesurer pour comprendre. Il est essentiel pour fixer un protocole d’entraînement cérébral, précis et ciblé par rapport aux objectifs. Cette condition est absolument indispensable à la réalisation du neurofeedback selon les “bonnes pratiques”.
La non spécificité en Neurofeedback est un effet majeur sur lequel il faut absolument capitaliser. Il amplifie la réponse de l’action thérapeutique. Tout en induisant une rémanence durable par neuroplasticité.
Suite à la lecture du 4ème article, tout devient plus clair.
Nous allons parler aujourd’hui du placebo sans tromperie.
Rappelez-vous! Dès le premier article sur ce thème, nous avons proposé les sept raisons de considérer l’effet placebo dans le Neurofeedback. Cela va peut-être vous surprendre, mais nous avons l’obligation:
De fournir des informations précises sur l’effet placebo à tout utilisateur de la méthode. Cela n’entrave absolument pas les bienfaits de la méthode!
Lors du dernier article, nous y avons même ajouté les «différentes facettes de l’effet placebo».
C’EST BIEN ÉTRANGE!
La constatation suivante est bien plus stupéfiante encore:
Cet effet peut fonctionner, même si le sujet sait qu’il a reçu un médicament factice.
Cette citation de Rabelais, “Science sans conscience n’est que ruine de l’âme” est tirée de Pantagruel, son œuvre majeure.
Ce troisième article va compléter notre point de vue sur cette question tant débattue et dont vous avez pu lire toutes les péripéties dans l’article précédent.
La puissance du Neurofeedback est surmultipliée par un effet de surpuissance. Cela est dû en grande partie à la technologie avant-gardiste du système utilisé.
Oui, nous le pensons! Comme nous l’avons exposé dans la troisième proposition des 7 raisons exposées dans le premier article sur ce thème:
N’EST-IL QUE CELA?
Je vous invite à nous suivre dans les nuances de notre point de vue. Partons ensemble, si vous le voulez bien, de cette célèbre maxime de Rabelais:
«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme”
La position de la «psychiatrie scientifique» franco-canadienne
UN DÉBAT CRUCIAL!
Voici la deuxième partie de l’article sur le thème du placebo et du Neurofeedback. Cet article est entièrement consacré au débat qui est survenu, particulièrement depuis un an dans la communauté francophone du Neurofeedback.
« Commencer par dire que c’est la langue qui produit la voix, ça parait bien étrange…Cette discussion est un peu trop confuse pour moi, désolée, mais vous mélangez voix, langage et communication, et votre propos ne me convainc pas »
LES RAPPORTS ENTRE L’ORGANE ET LA FONCTION
Cette remarque d’une orthophoniste, professionnelle de la rééducation du langage, fait suite à la diffusion de cette vidéo sur un groupe FB. De fait, il me semble très pertinent de prendre le temps d’y répondre. Cette entrevue a été effectivement tournée de façon impromptue, durant une pause lors d’un congrès à Lyon, il y a quelques mois. Il y a donc de nombreuses points à approfondir pour étayer un point de vue solide sur un sujet aussi complexe.
Drôle d’entrée en matière pour mon premier article du blog du neurofeedback, me direz-vous. Je vous l’accorde.
Preuve en serait cette question qui émane d'une demande d'information qui m’a été adressée aujourd’hui:
Bonjour, j'ai fait énormément de recherches sur le vrai biofeedback. J'ai cherché sur des annuaires. A chaque fois on y parle de ‘neuroptimal’. Je ne sais pas si c'est la même chose. Avez vous des contacts, praticiens SÛRS pratiquant le neurofeedback s'il vous plaît dans les Départements du.... ? Je vous remercie
- Cette question exige une réponse URGENTE! Je dois donc en tout premier lieu y répondre
La 3ème journée nationale sur le neurofeedback de la section NExt de l'AFPBN, l'Association Française de Psychiatrie Biologique, l'AFPB qui devient l'AFPBN en associant la Neuropsychopharmacologie, aura lieu à Lyon le 4 mai 2018
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